La colocation peut vite devenir un cauchemar si le vivre-ensemble est rompu. Si les tensions dépassent le simple conflit d’usage, vous avez des recours légaux.
Voici les motifs les plus fréquents qui peuvent justifier une plainte :
➡️ Si votre intégrité physique ou psychologique est en danger, vous êtes en droit de porter plainte.
Un échange par écrit (email, lettre recommandée) est recommandé pour formaliser les faits. Vous pouvez aussi faire appel au bailleur ou à l’agence pour tenter une médiation.
Présentez-vous au poste de police ou de gendarmerie avec tous les éléments possibles :
💡 Le dépôt de plainte est possible même si vous partagez toujours le logement.
En cas de violences ou de nuisances graves, une procédure civile ou pénale peut être engagée, notamment pour :
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En colocation, tous les colocataires sont solidairement responsables du loyer si une clause de solidarité est présente dans le bail. Donc même en cas de conflit, vous pouvez être tenu de payer pour votre colocataire si celui-ci disparaît ou ne paie plus.
👉 C’est pourquoi certains propriétaires souscrivent une assurance loyers impayés (GLI) comme celle proposée par Cautioneo. Elle protège contre :
Oui, le harcèlement est un délit, même en colocation. Il est puni par la loi.
Si une clause de solidarité est prévue, vous devez payer à sa place. Ensuite, vous pouvez vous retourner contre lui pour récupérer les sommes.
Non, sauf si ce colocataire est désigné seul sur un avenant ou un bail individuel. Sinon, c’est à vous d’entamer une procédure judiciaire.
Porter plainte contre un colocataire est possible et parfois nécessaire. En cas de conflit grave, n’attendez pas pour agir : constituez un dossier solide et faites valoir vos droits. Et pour les bailleurs, la GLI Cautioneo permet de se prémunir contre les conséquences de ce type de situation conflictuelle.