Lorsqu’un locataire cesse de payer son loyer, le stress peut vite monter. Certains propriétaires pensent à "lui mettre la pression", à couper l’électricité ou à changer la serrure pour le faire partir.
⚠️ Attention : ces actions sont illégales. Elles peuvent se retourner contre vous, même si le locataire est en tort. Cela s’appelle un trouble de jouissance ou une voie de fait, puni par la loi.
➡️ Mieux vaut respecter la procédure prévue par la loi, même si elle prend du temps.
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Un simple oubli ? Commencez par un message ou une lettre de relance courtoise.
Si le retard persiste, vous pouvez envoyer un commandement de payer via huissier, première étape vers une procédure judiciaire.
En l’absence de paiement, vous pouvez demander la résiliation du bail et l’expulsion du locataire.
💡 C’est long, mais c’est la seule voie légale pour récupérer votre bien.
Si vous aviez souscrit une GLI, l’assurance vous indemnise pendant que la procédure suit son cours.
Souscrire une assurance loyers impayés (GLI) comme celle de Cautioneo, c’est :
👉 La GLI vous protège même si votre locataire cesse de payer.
Non. Ce serait illégal et vous expose à des sanctions.
En moyenne 12 à 18 mois, parfois plus. D’où l’importance d’être assuré.
Oui, si le locataire accepte de partir, vous pouvez signer un accord écrit de résiliation amiable.
Face à un locataire qui ne paie pas, l’énervement ne doit jamais remplacer la loi. Prenez le chemin légal, faites-vous accompagner si besoin, et surtout, prévoyez ce type de situation avec une assurance loyers impayés comme la GLI de Cautioneo.
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